Ce que disent les témoins de Jonathan
Elliott Broutin - Mon frère
Eh oui, plus de 28 ans que je connais Jonathan !
Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous assommer avec 28 ans de souvenirs communs (et il y en a un nombre incalculable) ! Mais cependant, j'aimerais faire le point une bonne fois pour toutes sur cette histoire de mangues trop mûres.
L'histoire est devenue une légende... la légende est devenue un mythe... Il est temps de rétablir toute la vérité :
Il s'agissait en fait de mangues pas assez mûres (tout le monde sait que l'on ne risque absolument rien avec des mangues trop mûres) !
Voilà... cette rectification était importante. Ensuite, concernant cette anecdote, tout le reste est vrai.
Au passage, je ne peux que vous recommander l'utilisation générale et systématique de cet adage pour à peu près toutes les situations de la vie...
vous verrez, ça marche ! Et si ça ne marche pas... au pire, qu'est-ce que vous risquez ?...
C'est avec plaisir que je me replonge dans ces souvenirs de voyages et d'aventures, comme dans la plupart des souvenirs avec Jonathan d'ailleurs, car d'aussi loin que je me souvienne, il a toujours été là (c'est l'avantage pour moi d'être le petit frère).
Je me souviens des discussions passionnées que nous avions lorsque nous etions enfants, dans le jardin.
Je me souviens aussi que parfois, ces discussions grésillaient un peu à cause de la mauvaise qualité des Talkies-Walkies que nous utilisions...
Chacun à un bout du jardin, camouflés dans les buissons nous attendions des heures durant afin de démasquer ce complot et de réussir enfin à chopper ces invisibles Cloches de Pâques !
Oui je sais, attendre en embuscade les Cloches de Pâques alors qu'on adore le chocolat, c'est plutôt contre-productif...
mais c'était surtout l'occasion de sortir nos tenues militaires et de bien s'amuser ! (comme sur une des photos de mon profil)
C'est cela aussi Jonathan... quelqu'un qui réussit à vous emmener loin, très loin, que ce soit sur terre ou dans des imaginaires farfelus...
Et on ne le regrette jamais !
(sauf peut-être lorsqu'ensuite il diffuse largement des photos de vous dans un paysage paradisiaque, à moitié nu, une fleur dans les cheveux et une maigreur à faire pâlir Kate Moss)
Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous assommer avec 28 ans de souvenirs communs (et il y en a un nombre incalculable) ! Mais cependant, j'aimerais faire le point une bonne fois pour toutes sur cette histoire de mangues trop mûres.
L'histoire est devenue une légende... la légende est devenue un mythe... Il est temps de rétablir toute la vérité :
Il s'agissait en fait de mangues pas assez mûres (tout le monde sait que l'on ne risque absolument rien avec des mangues trop mûres) !
Voilà... cette rectification était importante. Ensuite, concernant cette anecdote, tout le reste est vrai.
Au passage, je ne peux que vous recommander l'utilisation générale et systématique de cet adage pour à peu près toutes les situations de la vie...
vous verrez, ça marche ! Et si ça ne marche pas... au pire, qu'est-ce que vous risquez ?...
C'est avec plaisir que je me replonge dans ces souvenirs de voyages et d'aventures, comme dans la plupart des souvenirs avec Jonathan d'ailleurs, car d'aussi loin que je me souvienne, il a toujours été là (c'est l'avantage pour moi d'être le petit frère).
Je me souviens des discussions passionnées que nous avions lorsque nous etions enfants, dans le jardin.
Je me souviens aussi que parfois, ces discussions grésillaient un peu à cause de la mauvaise qualité des Talkies-Walkies que nous utilisions...
Chacun à un bout du jardin, camouflés dans les buissons nous attendions des heures durant afin de démasquer ce complot et de réussir enfin à chopper ces invisibles Cloches de Pâques !
Oui je sais, attendre en embuscade les Cloches de Pâques alors qu'on adore le chocolat, c'est plutôt contre-productif...
mais c'était surtout l'occasion de sortir nos tenues militaires et de bien s'amuser ! (comme sur une des photos de mon profil)
C'est cela aussi Jonathan... quelqu'un qui réussit à vous emmener loin, très loin, que ce soit sur terre ou dans des imaginaires farfelus...
Et on ne le regrette jamais !
(sauf peut-être lorsqu'ensuite il diffuse largement des photos de vous dans un paysage paradisiaque, à moitié nu, une fleur dans les cheveux et une maigreur à faire pâlir Kate Moss)
Fabien Clavel - mon ami de 20 ans...
Nous nous sommes rencontrés en classe de Sixième au collège Ferdinand Bac, que l’on écrivait « Ferdinand Bagne » sur les tables.
C’était à la rentrée de septembre 1989.
On s’est accrochés l’un à l’autre dès le début de l’année, dès le premier jour même.
À force de nous voir traîner ensemble, avec les mêmes jeans bleus, des coiffures similaires, on nous prenait pour des frangins. L’idée me plaisait à l’époque et elle me plaît encore aujourd’hui.
À part en Quatrième, on a passé les années de collège dans les mêmes classes. Et puis, on est partis dans des lycées différents. Tu as déménagé à Mennecy. Plus tard, tu t’es envolé pour les Amériques. Mais jamais on ne s’est perdus de vue.
Quand on se retrouvait, on passait des nuits à discuter, en ayant l’impression que le temps n’avait pas passé tant que ça.
Aujourd’hui, cette année, cela fait vingt ans.
On s’est moins vus ces derniers temps, toi à Chicago, moi à Budapest. Pourtant, je sais, je suis sûr que, la prochaine fois qu’on se retrouvera, les choses n’auront pas changé. Après quelques minutes, on sera revenus vingt ans en arrière.
C’est peut-être ça la définition de l’amitié, de notre amitié.
Je t’adresse tous mes vœux de bonheur pour ton union avec Delphine et, tout comme tu as été auprès de moi le jour de mon mariage, je serai heureux d’être à tes côtés en juillet prochain.
C’était à la rentrée de septembre 1989.
On s’est accrochés l’un à l’autre dès le début de l’année, dès le premier jour même.
À force de nous voir traîner ensemble, avec les mêmes jeans bleus, des coiffures similaires, on nous prenait pour des frangins. L’idée me plaisait à l’époque et elle me plaît encore aujourd’hui.
À part en Quatrième, on a passé les années de collège dans les mêmes classes. Et puis, on est partis dans des lycées différents. Tu as déménagé à Mennecy. Plus tard, tu t’es envolé pour les Amériques. Mais jamais on ne s’est perdus de vue.
Quand on se retrouvait, on passait des nuits à discuter, en ayant l’impression que le temps n’avait pas passé tant que ça.
Aujourd’hui, cette année, cela fait vingt ans.
On s’est moins vus ces derniers temps, toi à Chicago, moi à Budapest. Pourtant, je sais, je suis sûr que, la prochaine fois qu’on se retrouvera, les choses n’auront pas changé. Après quelques minutes, on sera revenus vingt ans en arrière.
C’est peut-être ça la définition de l’amitié, de notre amitié.
Je t’adresse tous mes vœux de bonheur pour ton union avec Delphine et, tout comme tu as été auprès de moi le jour de mon mariage, je serai heureux d’être à tes côtés en juillet prochain.
Stéphanie Colboc - mon amie depuis la Première
Quand je pense à toi Jonathan, je me rappelle mes pauvres orteils gelés au coin de la rue des Eteules. Nous rentrions la plupart des soirs ensembles du lycée, toi à tenir ton vélo et moi à pied en discutant de tout et de rien et surtout de toutes tes idées. Grands sportifs tous les deux nous mettions bien une heure pour faire les 500m qui nous séparaient de Marie Laurencin et malgré l’entraînement nous ne nous sommes pas améliorés.
Tu m’as fait partager tes passions et particulièrement tes voyages aux quatre coins du monde, de l’Asie aux Etats-Unis en passant par le Sénégal et la Nouvelle Zélande. A chaque retour de voyage, pour nous permettre de nous envoler aussi loin que toi, tu te transformais en Jonathan le cuisinier. Je me rappelle du thon cru à la noix de coco de Tahiti, du coupe faim américain (le petit gâteau beurre de cacahouète enrobé de chocolat pour 2500 calories)… Il y a bien sûr la musique. Tu m’as fait profiter de tes talents de compositeurs, mes oreilles se souviennent encore de ton œuvre vedette « petit poucet » qui se joue sur 2 cordes de guitare si je me souviens bien.
Et puis un jour tu as décidé de t’exiler tout seul à l’autre bout de la planète mais on a continué à parler, un peu moins souvent il est vrai. Tu nous as fait découvrir Montréal et le mode de vie des canadiens. D’ailleurs je ne te remercierai jamais assez pour l’incomparable poutine et la surprenante root beer. Puis il y a eu Delphine et vous êtes descendus un peu plus au sud. Depuis tu fais tout pour nous donner envie de faire un saut à Chicago, un jour prochain je crois que nous allons craquer et venir admirer les eaux turquoises du lac Michigan depuis ton salon. On se contacte encore, mais trop rarement. Nous sommes pris par nos vies chacun de notre côté. De temps en temps tu traverses l’océan et nous reprenons nos grandes conversations.
Maintenant tu as décidé de te lancer dans une nouvelle aventure, une aventure à deux cette fois. Je la teste pour toi depuis quelques années et je n’ai qu’un conseil à te donner : profite bien de cette merveilleuse journée qui passe beaucoup trop vite. Ensuite c’est tout simple, tu n’auras plus qu’à te débrouiller pour que chaque jour de votre nouvelle vie à deux soit tout aussi magique que celui de votre mariage.
Tu m’as fait partager tes passions et particulièrement tes voyages aux quatre coins du monde, de l’Asie aux Etats-Unis en passant par le Sénégal et la Nouvelle Zélande. A chaque retour de voyage, pour nous permettre de nous envoler aussi loin que toi, tu te transformais en Jonathan le cuisinier. Je me rappelle du thon cru à la noix de coco de Tahiti, du coupe faim américain (le petit gâteau beurre de cacahouète enrobé de chocolat pour 2500 calories)… Il y a bien sûr la musique. Tu m’as fait profiter de tes talents de compositeurs, mes oreilles se souviennent encore de ton œuvre vedette « petit poucet » qui se joue sur 2 cordes de guitare si je me souviens bien.
Et puis un jour tu as décidé de t’exiler tout seul à l’autre bout de la planète mais on a continué à parler, un peu moins souvent il est vrai. Tu nous as fait découvrir Montréal et le mode de vie des canadiens. D’ailleurs je ne te remercierai jamais assez pour l’incomparable poutine et la surprenante root beer. Puis il y a eu Delphine et vous êtes descendus un peu plus au sud. Depuis tu fais tout pour nous donner envie de faire un saut à Chicago, un jour prochain je crois que nous allons craquer et venir admirer les eaux turquoises du lac Michigan depuis ton salon. On se contacte encore, mais trop rarement. Nous sommes pris par nos vies chacun de notre côté. De temps en temps tu traverses l’océan et nous reprenons nos grandes conversations.
Maintenant tu as décidé de te lancer dans une nouvelle aventure, une aventure à deux cette fois. Je la teste pour toi depuis quelques années et je n’ai qu’un conseil à te donner : profite bien de cette merveilleuse journée qui passe beaucoup trop vite. Ensuite c’est tout simple, tu n’auras plus qu’à te débrouiller pour que chaque jour de votre nouvelle vie à deux soit tout aussi magique que celui de votre mariage.
Arnaud Bétan - mon ami depuis la Terminale
Un américain à Mennecy
Je t’ai connu au Lycée de Mennecy, et même si pour moi tu ressemblais à « Forest Gump » (ceci dit c’est un très bon film) avant que je te connaisse mieux j’ai toujours vu en toi un américain expatrié à Mennecy.
Déjà à l’époque le modèle américain (en tout cas celui de la réussite pour tous) était ta référence. Et même lors du cours d’Anglais tu avais démontré au prof que ce qu’il désignait comme l’Empire State Building était le Chrysler Building…
Il est vrai que tu vivais dans un quartier style « Desperate Houswife » et que regardais toujours vers l’avenir.
Tu es quelqu’un de franc et de fidèle. C’est deux mots sont importants car tu es FRANC dans ta vie à travers les conseils que tu donnes, ta façon d’agir et aussi tes prises de décisions. Tu es aussi FIDELE, à tes croyances, à tes valeurs et à tes amis. Et j’espère à ta femme :)
J’ai personnellement toujours pu compter sur toi et sur tes conseils et à travers les océans.
Etre ton ami dès le lycée était pour moi un honneur. J’ai trouvé en toi quelqu’un qui regardait loin et qui savait l’HOMME qu’il voulait être à 40 ans. Tu étais déjà conscient du chemin et de la difficulté pour y arriver, mais tu sais garder le cap.
J’étais tellement en phase avec toi que j’ai même raté mon bac pour t’imiter, je me suis fais plaquer aussi. Est-ce que je vais me marier alors ?
Heureusement pour moi je te corresponds sur bien d’autres points. Nos croyances communes dans les valeurs de travail, de respect et d’humilité que nous donnent nos religions respectives. Tu vois je suis même avec une protestante car tu es déjà pris. Il y a la réussite professionnel bien que nous n’ayons pas fait une école de commerce (et que nous ne soyons pas les fils de Sarkozy). Nous partageons aussi le goût du voyage et surtout le gout des rencontres qui nous permettent d’avoir un « network worlwide ». Ce dernier point c’est toi qui me l’à transmis et je t’en remercie.
Mais comme on dit « tu es un boss ou tu l’es pas ». Toi tu as choisi ton camp.
Je garde plusieurs souvenirs uniques comme les parties baby-foot pendant les cours, les échanges rhétoriques avec notre prof d’économie ou notre week-end à Montrèal digne d’un film américain pour ados….
Je vais conclure ce petit mot par une phrase très simple : « montre moi tes amis et je te dirai qui tu es ». Si je te ressemble, et même qu’en partie, alors c’est certain je suis quelqu’un de bien et avec un bel avenir.
Et même si tu étais un Américain « lost » in Mennecy, je crois que maintenant c’est Mennecy qui est perdu sans toi. Alors arrête de donner toute ton énergie à ce pays qui taxe nos vins et nos fromages et rentre à la maison.
Je t’ai connu au Lycée de Mennecy, et même si pour moi tu ressemblais à « Forest Gump » (ceci dit c’est un très bon film) avant que je te connaisse mieux j’ai toujours vu en toi un américain expatrié à Mennecy.
Déjà à l’époque le modèle américain (en tout cas celui de la réussite pour tous) était ta référence. Et même lors du cours d’Anglais tu avais démontré au prof que ce qu’il désignait comme l’Empire State Building était le Chrysler Building…
Il est vrai que tu vivais dans un quartier style « Desperate Houswife » et que regardais toujours vers l’avenir.
Tu es quelqu’un de franc et de fidèle. C’est deux mots sont importants car tu es FRANC dans ta vie à travers les conseils que tu donnes, ta façon d’agir et aussi tes prises de décisions. Tu es aussi FIDELE, à tes croyances, à tes valeurs et à tes amis. Et j’espère à ta femme :)
J’ai personnellement toujours pu compter sur toi et sur tes conseils et à travers les océans.
Etre ton ami dès le lycée était pour moi un honneur. J’ai trouvé en toi quelqu’un qui regardait loin et qui savait l’HOMME qu’il voulait être à 40 ans. Tu étais déjà conscient du chemin et de la difficulté pour y arriver, mais tu sais garder le cap.
J’étais tellement en phase avec toi que j’ai même raté mon bac pour t’imiter, je me suis fais plaquer aussi. Est-ce que je vais me marier alors ?
Heureusement pour moi je te corresponds sur bien d’autres points. Nos croyances communes dans les valeurs de travail, de respect et d’humilité que nous donnent nos religions respectives. Tu vois je suis même avec une protestante car tu es déjà pris. Il y a la réussite professionnel bien que nous n’ayons pas fait une école de commerce (et que nous ne soyons pas les fils de Sarkozy). Nous partageons aussi le goût du voyage et surtout le gout des rencontres qui nous permettent d’avoir un « network worlwide ». Ce dernier point c’est toi qui me l’à transmis et je t’en remercie.
Mais comme on dit « tu es un boss ou tu l’es pas ». Toi tu as choisi ton camp.
Je garde plusieurs souvenirs uniques comme les parties baby-foot pendant les cours, les échanges rhétoriques avec notre prof d’économie ou notre week-end à Montrèal digne d’un film américain pour ados….
Je vais conclure ce petit mot par une phrase très simple : « montre moi tes amis et je te dirai qui tu es ». Si je te ressemble, et même qu’en partie, alors c’est certain je suis quelqu’un de bien et avec un bel avenir.
Et même si tu étais un Américain « lost » in Mennecy, je crois que maintenant c’est Mennecy qui est perdu sans toi. Alors arrête de donner toute ton énergie à ce pays qui taxe nos vins et nos fromages et rentre à la maison.
Eric Dieudonné - mon ami depuis l'IUT
Cher Jonathan,
Etant tous deux débordants d’ambition, nous avons, pour se faire, décider de nous inscrire en IUT Techniques de Commercialisation à Evry ! (lieu plein de romantisme et surtout berceau d’innombrables hommes d’affaires qui ont visiblement préférés rester anonymes !!...)
Avec le recul des années, je peux désormais affirmer que la plus grande réussite de cette « ambition démesurée », a été de nous rencontrersur les bancs des cours magistraux et des TP destinés à faire de nous ce que nous sommes aujourd’hui…. (On laissera planer le suspense ;o)…). Quelques fameux TP plus tard et quelques interrogations partagées sur la pertinence de nos études ……, nous avons sympathisé au fil des fous rires…
Si je n’ai pas gardé une très bonne image de cette école, en revanche, je garde un excellent souvenir de toutes les personnes que j’y ai rencontrées. Certains sont même devenus des amis et sans aucun doute, tu en fais partie.
Notre « cohabitation » à Montréal nous a énormément rapprochés. J’ai vraiment été enchanté de partager tous ces moments de vie ensemble :
- Le festival de Montréal
- Nos excursions nocturnes
- Nos moments philosophiques sur la terrasse
- Notre petit accrochage avec la voiture de location ;o)
- Et surtout les pattes tous les jours (1 an de thérapie pour ne plus en rêver ;o) )
Jon, derrière des airs de séducteur irrésistible (bogosse attitude, cf profil d’Arnaud Betan ;o) ), l’œil toujours brillant, se cache une personne incroyablement riche :
- Riche de voyages, il a traversé le monde et couru sur tous les sentiers.
- Il a testé les spécialités culinaires de tous les continents (ca, c’était avant l’épisode des pattes, après c’était plus pareil…) avec un courage et une dextérité hors norme. (En même temps avec Elliot comme mentor, il ne pouvait qu’exceller ! Pour la forme rappelons le fameux adage maintenant culte : « Au pire qu’est ce que tu risques ? …»)
- Riche de rencontres. Toujours ouvert à discuter, à rencontrer, à intégrer toute communauté et à en faire profiter ses amis, hein Jon… ;o)
- Généreux (surtout avec les pattes quand il en pouvait plus)
Sache qu’être le témoin de ce moment unique est un véritable honneur et une réelle démonstration de cette amitié qui nous lie depuis de nombreuses années maintenant. Emmanuelle, se joint évidemment à moi pour vous souhaitez, à tous les 2 tout le bonheur possible. Quelle émotion, j’ai assisté à vos tous débuts et vous voilà maintenant la moitié l’un de l’autre.
Etant tous deux débordants d’ambition, nous avons, pour se faire, décider de nous inscrire en IUT Techniques de Commercialisation à Evry ! (lieu plein de romantisme et surtout berceau d’innombrables hommes d’affaires qui ont visiblement préférés rester anonymes !!...)
Avec le recul des années, je peux désormais affirmer que la plus grande réussite de cette « ambition démesurée », a été de nous rencontrersur les bancs des cours magistraux et des TP destinés à faire de nous ce que nous sommes aujourd’hui…. (On laissera planer le suspense ;o)…). Quelques fameux TP plus tard et quelques interrogations partagées sur la pertinence de nos études ……, nous avons sympathisé au fil des fous rires…
Si je n’ai pas gardé une très bonne image de cette école, en revanche, je garde un excellent souvenir de toutes les personnes que j’y ai rencontrées. Certains sont même devenus des amis et sans aucun doute, tu en fais partie.
Notre « cohabitation » à Montréal nous a énormément rapprochés. J’ai vraiment été enchanté de partager tous ces moments de vie ensemble :
- Le festival de Montréal
- Nos excursions nocturnes
- Nos moments philosophiques sur la terrasse
- Notre petit accrochage avec la voiture de location ;o)
- Et surtout les pattes tous les jours (1 an de thérapie pour ne plus en rêver ;o) )
Jon, derrière des airs de séducteur irrésistible (bogosse attitude, cf profil d’Arnaud Betan ;o) ), l’œil toujours brillant, se cache une personne incroyablement riche :
- Riche de voyages, il a traversé le monde et couru sur tous les sentiers.
- Il a testé les spécialités culinaires de tous les continents (ca, c’était avant l’épisode des pattes, après c’était plus pareil…) avec un courage et une dextérité hors norme. (En même temps avec Elliot comme mentor, il ne pouvait qu’exceller ! Pour la forme rappelons le fameux adage maintenant culte : « Au pire qu’est ce que tu risques ? …»)
- Riche de rencontres. Toujours ouvert à discuter, à rencontrer, à intégrer toute communauté et à en faire profiter ses amis, hein Jon… ;o)
- Généreux (surtout avec les pattes quand il en pouvait plus)
Sache qu’être le témoin de ce moment unique est un véritable honneur et une réelle démonstration de cette amitié qui nous lie depuis de nombreuses années maintenant. Emmanuelle, se joint évidemment à moi pour vous souhaitez, à tous les 2 tout le bonheur possible. Quelle émotion, j’ai assisté à vos tous débuts et vous voilà maintenant la moitié l’un de l’autre.
Ludovic Masson - mon ami depuis l'IUP
Roulez malin.. Roulez Balin…
C’est vraiment le slogan qui a caractérisé une tranche de vie de 2 ans avec « Jo » comme j’aime à l’appeler. Histoire de faire « ‘ricain » comme il l’aime à se croire !! Ah Chicago, les States, qu’est ce qu’on en a bavé pendant nos années IUP !!! Après ça s’est un peu calmé !! Heureusement.
Et puis là, quelques années après, après quelques galères aussi. Je suis vraiment heureux pour lui de le voir réussir son rêve.. à Chicago … tout en haut de son Sky crapper et sa vie de « Maitre du Monde » !!!
La première rencontre avec Jo fut à l’image de notre amitié simple et d’un coup d’œil. Alors que pratiquement toutes les têtes de cette classe me semblaient patibulaire… J’ai vu un gars au loin à l’allure simple… Je me suis dirigé vers lui et dès la première conversation, on a accroché et on ne s’est plus lâché… Jusqu’à un certain point… Bande de pervers.
Qu’est ce que l’on s’est marré pendant ces années et même après d’ailleurs. Car même dans la galère, on n’a jamais arrêté avec Jo. Même à plus de 6.000 km de distance, quand la situation n’allait pas pour nous de part et d’autres de l’Atlantique… on se faisait des matinées Skype !!!
Ah le bon vieux temps !! Quand il est parti, j’en ai eu gros sur la patate !!! Je me souviens de cette soirée mémorable lors de mon anniversaire des 25 ans. Quand il est parti… Je me souviens d’avoir essuyé une larme en pensant que notre prochaine rencontre allait prendre du temps… Et j’avais raison !!
Des discussions qui étaient sans fin, de la provoc’ d’un coté comme de l’autre, mais toujours à la fin des convergences d’opinion et jamais de fâcherie. C’est clair qu’une amitié comme la notre au début, c’était pas joué d’avance entre un gars qui vient du Bronx Sauvage… d’Evry et l’autre du Miami de l’Essonne .. Mennecy !! Lol Mais Jo, c’est vraiment la simplicité même !! Un mec adorable !
On est tellement proche que nos expressions sont passés de l’un à l’autre… et seulement nos expressions.. Bande de pervers !!! Avec moi d’un coté … et « mon salaud »… et lui de l’autre avec « Non mais concrètement » ça m’a pris quoi 3 ans pour me débarrasser de cette expression !!!
Enfin, je suis vraiment content d’apprendre qu’il a trouvé chaussure à son pied… et à plus de 15.000 km de distance… Je leurs souhaite tout le bonheur du monde !!
C’est vraiment le slogan qui a caractérisé une tranche de vie de 2 ans avec « Jo » comme j’aime à l’appeler. Histoire de faire « ‘ricain » comme il l’aime à se croire !! Ah Chicago, les States, qu’est ce qu’on en a bavé pendant nos années IUP !!! Après ça s’est un peu calmé !! Heureusement.
Et puis là, quelques années après, après quelques galères aussi. Je suis vraiment heureux pour lui de le voir réussir son rêve.. à Chicago … tout en haut de son Sky crapper et sa vie de « Maitre du Monde » !!!
La première rencontre avec Jo fut à l’image de notre amitié simple et d’un coup d’œil. Alors que pratiquement toutes les têtes de cette classe me semblaient patibulaire… J’ai vu un gars au loin à l’allure simple… Je me suis dirigé vers lui et dès la première conversation, on a accroché et on ne s’est plus lâché… Jusqu’à un certain point… Bande de pervers.
Qu’est ce que l’on s’est marré pendant ces années et même après d’ailleurs. Car même dans la galère, on n’a jamais arrêté avec Jo. Même à plus de 6.000 km de distance, quand la situation n’allait pas pour nous de part et d’autres de l’Atlantique… on se faisait des matinées Skype !!!
Ah le bon vieux temps !! Quand il est parti, j’en ai eu gros sur la patate !!! Je me souviens de cette soirée mémorable lors de mon anniversaire des 25 ans. Quand il est parti… Je me souviens d’avoir essuyé une larme en pensant que notre prochaine rencontre allait prendre du temps… Et j’avais raison !!
Des discussions qui étaient sans fin, de la provoc’ d’un coté comme de l’autre, mais toujours à la fin des convergences d’opinion et jamais de fâcherie. C’est clair qu’une amitié comme la notre au début, c’était pas joué d’avance entre un gars qui vient du Bronx Sauvage… d’Evry et l’autre du Miami de l’Essonne .. Mennecy !! Lol Mais Jo, c’est vraiment la simplicité même !! Un mec adorable !
On est tellement proche que nos expressions sont passés de l’un à l’autre… et seulement nos expressions.. Bande de pervers !!! Avec moi d’un coté … et « mon salaud »… et lui de l’autre avec « Non mais concrètement » ça m’a pris quoi 3 ans pour me débarrasser de cette expression !!!
Enfin, je suis vraiment content d’apprendre qu’il a trouvé chaussure à son pied… et à plus de 15.000 km de distance… Je leurs souhaite tout le bonheur du monde !!